Témoignage : la nature en ville (et plus particulièrement en pots de fleurs) m’a sorti du burn-out


Quand on entend parler de burn-out, on imagine une personne stressée et à bout de nerfs.


On imagine une personne, enfermé chez elle, qui déprime et qui n’a plus le goût de faire quoi que ce soit.


On imagine une personne isolée et qui se plaint d’avoir une vie de m….


Et pourtant.


Ce que j’ai vécu n’a rien de similaire à tout ça.


Ce que j’ai vécu, j’appelle ça un burn-out physique.


C’était fin 2017.


Je ne vais pas revenir en détail sur les raisons de ce burn-out, ni sur les problèmes de santé que j’ai eus (et qui sont encore bien présent à l’heure où j’écris ces lignes).


Non.


Dans ce mail, je vais vous partager la raison pour laquelle, pour moi, ce burn-out est la meilleure chose qui me soit arrivée dans la vie.


Et je vais aussi vous donner des clés pour vous reprendre en main dès maintenant et éviter d’en arriver à subir ce que j’ai subi.



Lorsque j’ai eu ce burn-out, en octobre 2017, j’ai mis seulement quelques jours pour prendre les choses en mains.


Les problèmes de santé que j’ai eus, m’ont vite fait comprendre que j’allais avoir besoin de beaucoup de temps pour m’en sortir (et je ne me suis pas trompé).


Les médecins généralistes et spécialistes ne m’ont aidé en rien.


Les médecines alternatives non plus.


Les bâtons de sauge des chamanes non plus.


La seule personne qui m’a aidé à m’en « sortir », c’est MOI.


C’est parce que j’ai décidé de prendre ma santé en main.


Parce que j’ai décidé d’écouter la petite voix que j’avais fait taire pendant de longues années.



Et c’est grâce à ce burn-out, que le blog du potager minimaliste est né.


J’ai donc passé de longues heures à apprendre à créer un site internet.


De longues heures à écrire des articles de blog.


A écrire des posts sur les réseaux sociaux.


A jardiner sur ma terrasse.


A me balader dans la nature.


A traîner dans TOUTES les bibliothèques de ma région.


A lire un tas de livres sur la permaculture, la notion de sol vivant, la faune, la flore, etc…


A méditer.


A passer du temps dans la nature, seul.


A partir à l’autre bout de la France pour passer mon diplôme de permaculture chez celui qui m’a le plus inspiré.


Sans parler des boulangeries et des terrasses de café dans lesquelles j’ai squatté pour vous écrire des articles et des mails.


Des innombrables conférences auxquelles j’ai participé pour comprendre et garder fois en la nature et ses vertus.



Parfois, je me demande pourquoi je fais et j’ai fait tout ça..


..puis je me souviens de tous ces moments où je l’ai ressenti au plus profond de moi.


Des moments comme le jour où j’ai mangé mes premières tomates cerises issues de mes cultures en lasagne en pots de fleurs.


Où j’ai mangé mon premier melon de la terrasse.


Où j’ai vu le premier oiseau sautiller sur ma terrasse.


Le premier papillon.


Mais aussi les instants mystiques que j’ai vécus sur la terrasse, dans la forêt ou en découvrant des dizaines et des dizaines de jardins partagés à travers la France.


Des instants mystiques où j’ai pu observer un simple tournesol sur un balcon du centre-ville d’une petite ville des Landes…



Des exemples comme ça, j’en ai des dizaines et des dizaines..


..et ils me touchent au fin fond de mon cœur.


C’est comme ça.


Ca ne s’explique pas.


Je peux dire que la nature m’a soigné.


Et plus particulièrement la nature en ville.


Pour moi, c’est LA solution à quasiment tous les maux de la ville.


C’est LA porte de secours si VOUS vous sentez déconnecté.


Déconnecté de la nature.


Déconnecté de vous-même.


Déconnecté de vos émotions.



Si vous a avez l’impression d’être dans un tunnel sans fin depuis plusieurs années.


D’être dans une routine métro, boulot, dodo qui ne vous satisfait pas.


Une routine qui est, tout simplement, en train de vous vider de votre énergie.



Les obligations personnelles.


La pression au travail…


Vous n’avez plus le temps de prendre soin de vous.


De faire une activité qui vous plaît.


Qui vous nourrit.



Si vous vous êtes inscrit à mes mails, ce n’est pas pour rien.


Vous aimez la nature.


Vous aimez la façon dont j’en parle.


Le respect et les égards que j’ai envers elle.


Vous aussi, la nature vous parle.


Elle vous donne ces moments mystiques.


Vous fait ressentir des émotions sans dire un mot ou sans faire un geste..


..juste parce qu’elle est là.


Le simple fait d’observer un balcon ou un jardin de verdure vous redonne la foi.


Une simple balade dans le parc vous rappelle qui vous êtes et quels sont vos rêves.




Lorsque mon burn-out s’est présenté en octobre 2017, je n’ai rien vu venir.


Il m’a pris, comme ça, sans raison.


Il m’a dit qu’il n’y aurait plus de retour en arrière.


Que c’était comme ça maintenant.


Qu’il fallait vivre avec.


Comme je vous le disais, c’est la pire chose qu’il me soit arrivé et en même temps, c’est la meilleure chose.


Mais si je pouvais revenir en arrière pour me faire passer un petit message et éviter d’en arriver là, je le ferais.


Pour me dire : Fab, écoute-toi. Fais ce qui te parle. Fais ce que tu aimes…



Comme vous l’aurez compris, il n’y a pas de leçon cette semaine.


Juste un simple message, écrit avec le cœur.


Un message qui part dans tous les sens.


Un message incomplet.


Un message à lire avec le cœur et non avec la tête.



Bref, si vous êtes encore en train de me lire, c’est que vous avez certainement besoin de vous reconnecter à votre cœur, votre corps et votre esprit.


A mettre un peu de verdure dans votre vie avant qu’il ne soit trop tard…


Et c’est justement pour ça que j’ai mis en place les conseils en ligne.



Sur ce, bon dimanche et à la semaine prochaine.




Fabrice.




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J’ai observé des mésanges en repérage de nichoir sur ma terrasse


Suis-je devenu fou ?


La nature nous parle vraiment ?


En fait, ce n’est pas exactement ça..


..la nature nous parle, uniquement si nous y sommes ouverts.


Seulement quand nous nous connectons à elle…



Prenons un exemple.


Pour comprendre ce que votre conjoint ou un ami a à vous dire, vous devez le regarder dans les yeux.


Vous devez vous concentrer sur ce qu’il dit.


Comprendre le langage qu’il utilise.


Décoder (inconsciemment) son langage corporel.


Etc…



Et bien dites-vous que pour la nature, c’est pareil !


Vous voulez vous connecter à elle.


Si vous ne lui portez pas un minimum d’attention, il ne se passera rien !


Si vous ne prenez pas le temps de décoder ce qu’elle a à dire, elle vous semblera inerte.


Morte.


Muette….


Ce n’est pas parce l’hiver s’installe au jardin, que celui-ci n’a plus rien à vous dire.


Ce n’est pas parce que les rares derniers pollinisateurs butinent les rares dernières fleurs, que la nature est sur le point de se
figer.


Il se passe encore plein de trucs.


C’est juste que c’est un peu plus rare.


Et croyez-le ou non, c’est en ce moment que vous pouvez observer les scènes les plus magiques…



David Holmgren (l’un des padré fondateur de la permaculture) a théorisé ses 12 principes de permaculture en 2002 (il y a tout juste 20 ans).


Le premier de ces principes, c’est « Observer et interagir ».


Pour moi, c’est LE plus important de tous.


Observer > interagir > observer > interagir > etc…


C’est le cycle vertueux de l’apprentissage, de la communication et de bien d’autres modèles naturellement présents autour de nous…


C’est LA meilleure façon de réaliser un design en permaculture.


Et c’est aussi la manière dont un couple de mésanges m’a interpellé sur ma terrasse il y a quelques semaines…



La scène se déroule sur plusieurs matins d’octobre, pendant que j’écrivais les mails que vous lisez chaque dimanche matin.


J’ai pour habitude de travailler devant la fenêtre qui donne sur mon potager en pots de fleurs.


Ca me détend et m’inspire d’avoir la terrasse comme paysage.


Ca me donne aussi l’opportunité d’observer ce qu’il s’y passe.


Et, mine de rien, il y a souvent de l’activité.


Par exemple.


Tout l’été, un couple de merle est venu manger les raisins blancs de ma vigne.


Franchement, ça ne me dérange pas plus que ça.


Le but de ce potager n’est pas de devenir autonome..


..mais d’apprendre la permaculture, tout en créant un espace d’abondance pour moi et pour la biodiversité.


Et pour moi, l’abondance, ce n’est pas forcément « obtenir un max de récolte ».


Le simple fait d’observer le merle, la merlette et les abeilles sauvages me suffit.


Cette terrasse, c’est un bout de nature sauvage à ma fenêtre…


Bref.


Arrêtons de tergiverser et revenant au sujet principal : les mésanges.



Comme je vous le disais, pendant tout le mois d’octobre, j’avais un couple de mésange qui venait régulièrement sur ma terrasse.


La première fois que je les ai observé, je me suis dit : « tient, elles aussi sont intéressées par les raisins ».


Mais surprise.


Elles n’étaient pas du tout là pour ça.


Elles étaient là pour mon nichoir.

nichoir-mésange-terrasse-balcon-permaculture


Ce nichoir à mésanges, je l’ai installé il y a presque 5 ans.


Et en 5 ans, je n’ai jamais vu une seule mésange y traîner autour.


Seulement quelques guêpes sont venues nicher.



Bref, je me perds un peu là.


Ce n’est pas une leçon que j’essaie de vous transmettre, mais un message.


Un message pour vous dire à quel point les observer était un moment magique…



A l’heure où je vous écris ces lignes, ça fait presque 3 semaines que je ne les ai plus vu.


Je ne pense pas que ce couple de mésanges ait décidé de nicher la terrasse.


Mais ce qui est sûr, c’est qu’il a apporté de la magie dans ma vie.


J’étais derrière ma fenêtre.


Je remarquais du mouvement du coin de l’œil.


Je levais les yeux.


Et je voyais ces 2 silhouettes bleues/jaunes derrière le feuillage.


J’étais comme hypnotisé.


Obligé de rester figé pour ne pas les effrayer.


Je les observais sauter de branches en branches.


De tuteurs en bambou en tuteurs en bambou.


Et j’ai vite compris que c’était un couple.


Ca se voyait dans leur manière de se déplacer..


De se regarder..


Ca ne s’explique pas.



Elles observaient tout sur ma terrasse.


Les plantes.


Les coins pour se cacher.


Etc…


J’ai même surpris l’une d’entre elles scruter l’intérieur de ma serre de fond en comble !



C’est trop marrant une mésange.


Ca peut marcher le long d’une planche en bois, à la vertical, la tête à l’envers.



Et le but final de chacune de leur visite, c’était le nichoir.


Pas le raisin.


Pas le ver de terre rampant sous le paillage.


Mais bel et bien ce nichoir vide depuis 5 ans.



Est-ce un signe que ma terrasse arrive à maturité ?


Je ne sais pas.


La nature est bien trop complexe.


Il suffit que l’arbre dans lequel elles avaient l’habitude de nicher ait été abattu.


Ou que les tuteurs que j’ai rajoutés cette année les aient interpellées


Ou peut-être les 2…



Tout ce que je sais, c’est qu’aucun documentaire animalier ne peut remplacer ce que j’ai eu la chance d’observer.



Et tout ce que j’ai à vous dire ce matin, c’est de débrancher votre télévision et d’installer votre canapé face à votre fenêtre.


Sur ce, bon dimanche.




Fabrice.




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Un jardin thérapeutique dans des pots de fleurs (hortithérapie urbaine)


Le rythme de la ville vous ronge ?



La circulation incessante des voitures.


Les trottoirs bondés.


Le manque cruel de nature.


La publicité omniprésente.



Le pire, c’est que plus vous vous approchez du centre-ville, plus tout ça s’accentue et plus vous vous sentez mal.


Et plus vous vous sentez mal, plus vous avez tendance à culpabiliser et vous dire que vous êtes le problème..


..mais ce n’est pas vous le problème.



D’après un article de Lucien Fauvernier dans le magazine « psychologies.com« , plus la population est dense, plus les pathologies sont nombreuses (dépression, schizophrénie, troubles anxieux sévères,…).


Et tout ça, c’est dû au mal du siècle : le stress.



Toujours selon un article de Lucien Fauvernier, l’exposition à des situations de stress chronique favorise le développement d’un trouble psychique.


Le cocktail de la sur-urbanisation et de la sur-exposition à des situations de stress chronique multiplie le risque de troubles psychiques.


Les chiffres nous disent aussi que 10 % de la population souffre d’un traumatisme d’une forme ou d’une autre.


Mais selon le psychiatre Gordon Turnbull, spécialiste du trouble de stress post-traumatique (TSPT) et auteur de l’ouvrage « Trauma », ce chiffre serait bien éloigné de la réalité et se situerait plus près des 50 % !


Et toujours selon lui, un traumatisme peut affecter notre capacité à envisager un avenir différent.



En étant conscient de tout ça, comment voulez-vous qu’on parvienne à mettre en place des solutions radicales pour remédier aux problèmes écologiques ?


Comment voulez-vous qu’on change nos priorités et notre fonctionnement ?


Et, tout simplement, comment voulez-vous que VOTRE avenir soit riche et prospère… ?


Comment voulez-vous habiter en ville tout en préservant votre santé mentale ?


Vous me voyez venir ?



Malgré le fait que l’humain soit un animal social, je pense il a besoin de ressentir une certaine connexion.


Je pense que VOUS avez besoin de vous reconnecter.


De vous reconnecter à quoi ?


A LA NATURE.



Les études le prouvent : l’exposition à la nature diminue le stress et renforce le système immunitaire.


Comment est-ce possible me direz-vous ?


C’est simple.



Ce n’est plus un secret, les végétaux communiquent entre eux.


Non pas pour se raconter les potins du coin..


..mais pour assurer la survie de leurs semblables et de la forêt.



« Attention, les fourmis ont commencé à attaquer mon feuillage. Protégez-vous ! ».


« Je viens de trouver une source de phosphore, qui en a besoin ? ».


« Humain détecté ! ».


Mais ce qu’ils se disent, on s’en fout un peu.


Ce qui nous intéresse à nous, c’est la façon dont ils se le disent



Les arbres communiquent de deux façons :


1/ Par le réseaux de champignons sous terrain (les messages passent par les filaments mycorhiziens).


2/ Par l’échange de gaz.


Ce sont les échanges gazeux qui nous intéressent car c’est en partie grâce à eux que vous vous sentez bien après une balade en forêt.


D’après ces études, l’exposition à ces gaz réduit l’inflammation, le stress oxydatif, le taux d’hormones de stress (adrénaline) et stimule le système immunitaire.


« Ces molécules pourraient donc contribuer à la diminution du stress et de l’anxiété »



Mais comment faire pour se balader en forêt quand on habite en ville et qu’on a ni le temps, ni les moyens ?


Réponse : le jardinage thérapeutique en pots de fleurs.


Je m’explique.


Dans l’avant-dernier mail, je parlais de la notion de champ libre.


Un champ libre c’est un espace dans lequel il y a de place pour accueillir une mauvaise herbe, un oiseau ou un insecte.


C’est un espace dans lequel vous appliquez délibérément le non-agir.


Pour ça, pas besoin d’avoir un terrain de 1000 m².


Quelques pots de fleurs suffisent pour créer la vie.


Et comme nous l’avons vu, plus vous aurez de plantes dans ces espaces, plus elles communiqueront entre elles et plus il y aura d’échanges gazeux.


(et plus vous serez dopé au bonheur).



En gros, plus votre jardin ressemble à une forêt naturelle, une forêt libre..


..plus il sera bénéfique pour vous d’y passer du temps..


..quelle que soit sa taille !



Alors au lieu de chercher à tout contrôler.


Au lieu de faire de la monoculture en pot de fleurs.


Au lieu d’arracher toutes les mauvaises herbes de vos pots de fleurs.


Faites confiance à la nature et laissez-la faire son travail.


Votre boulot à vous, c’est de lui laisser le champ libre.



Il ne vous restera plus qu’à profiter de l’abondance de bonheur qu’elle sera en mesure de vous apporter.


Il est temps de revoir votre stratégie de jardinage en pot de fleurs.


C’est un reformatage complet dont vous avez besoin.


Personnellement, ça fait plus de 7 ans que je pratique le jardinage thérapeutique en pots de fleurs sur ma terrasse de 8 m²..


..et c’est la raison pour laquelle je vous propose mon aide.



Pour enfin lâcher prise et me demander un petit coup de pouce, c’est par ici.




Fabrice.




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Les 4 principales clés pour apprendre toutes les plantes, tous les arbres et tous les arbustes de A à Z


Apprendre le nom d’une plante ne vous suffit pas ?


Ca tombe bien.


Dans cet e-mail, je vais vous donner 4 clés pour apprendre plein de trucs sur les plantes.


A votre rythme.


Sans avoir pour objectif de devenir botaniste.


Juste les clés de base pour être capable de se la péter un peu du genre, « les amis, ça vous dit de faire un pesto de plantains et un cake aux orties ce week-end ? »


Ou du genre « vous savez que ce sont les Espagnoles qui ont découvert la tomate ? ».


Ou du genre « vous savez que l’aulne a pour rôle d’ombrager les cours d’eau ? ».



Ce qui intéresse un botaniste, c’est la nomenclature des plantes.


C’est-à-dire de connaître la famille, le genre, l’espèce, la sous-espèce, la variété et le cultivar (ou l’hybridation).


Ce qui vous intéresse, c’est d’être capable de reconnaître les plantes sauvages comestibles, les fruits, les légumes du potager ou les arbres de la forêt.


Mais pas que.


Vous voulez aussi avoir plein de trucs intéressants à raconter autour de ces plantes.


Pour ça, pas besoin de partir vivre dans la forêt, de faire 5 ans d’études ou d’éplucher l’atlas des plantes.


Vous avez juste besoin de savoir les identifier et de connaître quelques clés de base comme :



1/ La famille pour être capable de faire des liens entre les plantes.


Souvent, elles ont des caractéristiques en commun qui vous permettront de mieux les reconnaître (comme les fleurs par exemple).


Les plantes de la même famille ont aussi assez souvent les mêmes besoins, les mêmes atouts et les mêmes faiblesses.


Les connaître, peut vous être particulièrement utile au potager en ce qui concerne la rotation des cultures par exemple.



2/ La toxicité pour être sûr que vous pouvez la consommer en toute tranquillité.


Certaines plantes comme la digitale, l’if ou la ciguë sont très toxique.


C’est la raison pour laquelle vous devez savoir si, oui ou non, telle ou telle plante est toxiques.


Mais pas que.


Souvent des plantes toxiques ressemblent à d’autres plantes qui peuvent être, quant à elles, comestibles.


C’est la raison pour laquelle vous devez connaître la clé suivante.



3/ Les plantes « cousines ».


Quasiment toutes les plantes ont une ou plusieurs autres plantes qui leur ressemblent.


Connaître la caractéristique (ou l’absence de caractéristique) qui vous permet de les différencier est primordial.


Si vous voulez être sûr de ne pas confondre l’ail des ours avec le muguet (qui est toxique), mieux vaut vous pencher un peu là-dessus…



4/ Le caractère bio-indicatif pour avoir des informations précieuses sur la nature du sol.


Les végétaux ne poussent pas à un endroit par hasard.


Il y a tout un tas de conditions favorables, comme la composition du sol, pour qu’elles germent.


De plus, en connaissant les besoins et les fonctions des plantes, vous serez en mesure de connaître des informations précieuses sur la nature du sol (pollutions, humidité, minéraux, composition, etc…).



Voilà les 4 principales clés que j’ai déterminées pour devenir un pro des plantes.


Il y en a d’autres.


Mais elles dépendent de votre profil.


De quelles types de plantes vous souhaitez apprendre.


C’est la raison pour laquelle j’ai créé des listes de clés spécifiques que j’ai réparties en 3 profils qui sont les suivants :



Le maraîcher en permaculture, pour devenir incollable sur les fruits et légumes du potager.



Le cueilleur sauvage, pour devenir incollable sur les plantes sauvages et savoir comment les manger sans finir aux urgences.



Et l’expert de la forêt, pour raconter tout un tas de choses sur les arbres centenaires de nos contrées.



Ces 3 profils, ainsi que leurs clés, sont à découvrir avec ma formation sur l’herbier numérique.


Vous pourrez choisir quelles clés utiliser selon votre profil.


Bien entendu, rien ne vous empêche d’avoir plusieurs profils.


C’est vous qui décidez.


Bref.


Faites vite.


Rendez-vous ici pour vous inscrire.




Fabrice.




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Permaculture, acceptation et méditation sur la forêt et le jardin


Imaginez une maison avec un jardin.


Un jardin avec un gazon nickel propre.


Maintenant, imaginez ce même jardin et ce même gazon, mais laissé à l’abandon pendant une vingtaine d’années.



Vous entendez le va-et-vient incessant des oiseaux.


Le bruit des feuilles au vent.


Vous remarquez le lierre qui grimpe au tronc des jeunes arbres et sur la façade de la maison.


La riche litière de feuilles mortes.


La lumière du coucher de soleil qui transperce le feuillage…



C’est inévitable.


Si vous laissez un jardin engazonné à l’abandon, il se transformera naturellement en forêt.


Ce seront d’abords les plantes de la familles des fabacées qui prendront le dessus.


On les appelle aussi les « engrais verts ».


Ce sont des plantes autonomes qui sont capables de démarrer le processus de végétalisation en partant d’un sol pauvre.


Leurs puissantes racines vont décompacter et enrichir ce sol en y installant des mini-poches d’azote.


Azote qui va nourrir les plantes pionnières qui viendront coloniser le terrain durant les prochaines années…



Puis ce sera au tour des arbres pionniers de faire leur apparition.


Leurs bois tendre et fragile seront protégés par les ronces.


La ronce qui est la pépinière de la forêt.


Elle est là pour assurer la protection des arbres pionniers durant leur croissance.


Ses épines qu’on appelle « les aiguilles » vont les protéger des prédateurs.


Quels prédateurs ?


Le castor par exemple (le castor étant un mammifère qui se nourrit principalement du bois tendre de ces jeunes arbres…).



Durant l’évolution de cette forêt, des niches écologiques vont se créer et se succéder.


Les niches écologiques (niche, comme la niche du chien) sont des environnements prospères à certaines plantes et certains animaux.


Au fur et à mesure du temps, ces différentes espèces d’animaux et de plantes vont collaborer, se faire la guerre ou simplement s’ignorer…


Ce qui va entraîner tout une succession de cycle.


C’est ce qu’on appelle « l’équilibre de la nature »…



Et la seule et unique voie par laquelle l’équilibre de la nature peut se faire, c’est « le champ libre ».


(si vous voulez plus de détails sur cette notion de « champs libre », j’en ai parlé en début de semaine sur LinkedIn et le Canal Telegram)



Bref.


Vous voulez plus de nature spontanée sur votre jardin ?


Vous devez impérativement laisser du champ libre.


(et si vous n’avez qu’une simple fenêtre, ne loupez pas l’astuce que je partage sur ce fameux post LinkedIn et Telegram !)



Le champ libre provoque le déséquilibre.


Et ce déséquilibre, c’est exactement ce que vous avez envie de créer.


Ce déséquilibre, c’est un oiseau curieux, une abeille gourmande ou un pissenlit sauvage…



Le hic, c’est que certains de ces déséquilibres seront néfastes pour vos besoins.


Ils vont embêteront et vous n’aurez qu’une seule chose en tête : vous en débarrasser.


On me demande souvent comment on fait pour se débarrasser des pucerons, des araignées rouges ou des fourmis.


Ma réponse :


Tous les insectes sont des auxiliaires du jardin.


Ce n’est pas parce qu’ils vont affaiblir votre magnifique plant de tomate qu’il faut automatiquement agir.


De toute façon, du moment où vous vous en rendez compte, il est déjà trop tard.


Le mal est fait et la meilleure chose qu’il vous reste à faire c’est le non-agir.


Parce qu’un déséquilibre, fini toujours par devenir un champ libre pour quelqu’un d’autre…



La clé d’un jardin résilient, c’est le déséquilibre.


Parfois, ces déséquilibres seront bénéfiques pour vos besoins..


..et parfois non.


Mais ce qui est sûr, c’est que si vous luttez contre l’un d’entre eux, vous restez définitivement à sa merci.


Au lieu de vouloir supprimer le problème, acceptez-le et il s’en ira de lui-même.


Plus votre jardin rencontre de problèmes, plus il devient résiliant.


Ne cherchez pas à lutter contre tout et n’importe quoi.




Fabrice.




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4 applications mobiles pour apprendre les plantes en s’amusant (même en hiver)


Chaque semaine, l’automne avance à grands pas.


Les feuilles changent de teinte.


Elles passent du vert au jaune et, parfois, du jaune au rouge.


Juste avant de se détacher et de tomber, goutte à goutte, aux pieds des arbres…



On a eu un été particulièrement chaud et sec cette année.


Et ce n’est pas terminé !


La sécheresse continue.


Oui, parfois il pleut un peu.


Ca a pour effet de verdir un peu la nature..


..mais c’est est loin d’être suffisant pour recharger les nappes phréatiques.



Par contre, après la pluie, il y a beaucoup de champignons en forêt.


Et ils sont énormes !


Les températures sont idéales pour eux.


Bref.


Il fait tellement chaud pour un mois d’octobre que ça en devient presque inquiétant…



L’avantage avec ce beau temps, c’est qu’on peut continuer à chiller et à bronzer sur sa terrasse.


A observer les dernières fleurs du potager.


A échapper à la monotonie du métro, boulot, dodo…



Mais toute bonne chose à une fin.


D’ici quelques semaines, même avec un peu de soleil, vous aurez du mal à chiller sur votre terrasse.


Le froid va commencer à piquer et ce sera beaucoup plus agréable de lire un livre près du radiateur que de faire l’esquimau sur votre terrasse.



Pour vous occuper en dehors de ces longues soirées d’hiver, je vous ai sélectionné 4 applications mobiles pour continuer à apprendre les plantes..


..du moins, 4 applications qui vont vous motiver à vous dégourdir les jambes et à découvrir la nature.


🙂




La première application, c’est Smartflore (disponible uniquement sur Android).


Smarflore est une carte participative où vous trouverez des balades botaniques.


Assez simple d’utilisation, elle vous permettra de trouver des plantes autour de chez vous.


Vous allez me dire : ‘mais Fabrice, en hiver on ne trouve quasiment pas de plantes dehors ! ».


Et bien c’est faux.


Vous trouverez même des plantes comestibles.


Pour preuve, référez-vous à ma liste de 14 plantes sauvages et comestibles à récolter en hiver.


😉



La deuxième application, j’en parle souvent (et je ne pouvais pas ne pas en parler ici), c’est plantnet.


Avec plus de 35 000 espèces répertoriées à travers le monde, c’est LA référence en termes de reconnaissance de plantes.


C’est un indispensable à avoir dans votre smartphone.


Bien évidemment, ce n’est pas fiable à 100 %, mais c’est assez juste dans l’ensemble.


Couplée avec l’application Smartflore, vous avez de belles balades en perspective !



La troisième application n’en est pas une.


C’est un site internet : quelle-est-cette-fleur.com


La particularité de ce site, c’est qu’il vous permet d’identifier une plante grâce à l’observation de ses caractéristiques.


Bien moins fourni que plantnet (seulement quelques centaines d’espèces), il reste tout de même très efficace dans nos contrées françaises…


Son utilisation est simple.


Dites le milieu dans lequel vous avez trouvé la plante.


Sa taille.


Le type de fleurs et leur couleur.


Le type de feuilles et leur forme.


Et, en analysant au fur et à mesure vos réponses, le site vous dit quelle plante vous tentez d’identifier.


Allez-y les yeux fermés.


Les résultats sont assez fiables.


Mais n’oubliez pas d’être sur à 200 % avant de goûter une plante !



La quatrième et dernière application c’est « clés de la forêt » (disponible sur Android et Iphone).


Développé par l’Office National des Forêt s’il vous plaît !


Utilisable en forêt, mais aussi depuis votre canapé (ou depuis votre canopée, c’est au choix 😉 ).


Simple.


Ludique.


Agréable d’utilisation.


L’O.N.F a fait un super boulot avec cette application mobile.


Vous aimez la faune et la flore ?


Vous allez l’adorer !


Je vous laisse découvrir ça par vous-même…


🙂



Voilà de quoi faire pour continuer à apprendre les plantes, même en hiver.


J’aime ces applications car elles poussent à l’observation.


Et c’est par l’observation qu’on apprend le mieux.



Si vous connaissez d’autres applications, n’hésitez pas à me les citer en répondant à ce mail.


Je partagerais les plus pertinentes dans le canal Telegram.



PS : si vous voulez aller plus loin et devenir incollable en termes de reconnaissance de végétaux, rendez-vous ici pour créer votre propre herbier numérique.




Fabrice.




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