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Il y a le monde d’hier, avec les médias traditionnels (les journaux et la télévision).


Il y a le monde d’aujourd’hui, avec internet (youtube, réseaux sociaux, etc, etc…).


Et il y a le monde de demain, où tout se passera sur internet.





Attention.


Je ne sors pas ça de mon chapeau, c’est prouvé !


Au quotidien, les gens passent de moins en moins de temps devant la télévision.


Selon une étude de « Zénith Média » réalisée en 2019, la population mondiale passe quotidiennement 170,6 minutes sur internet contre 170,3 minutes sur la télévision.


Et depuis, l’écart se creuse chaque jour.


Bref.


Ca veut dire qu’il est de plus en plus facile et courant de prendre la parole.


D’exprimer ce qu’on a à dire sur Twitter ou Instagram.


Certes, ça a de bons côtés (+ d’associations environnementales, + de pétitions, + de moocs, etc…).


Mais d’un autre côté, c’est en train de devenir un bordel monstre sur les réseaux sociaux (et c’est la raison pour laquelle, j’ai migré sur Telegram, c’est beaucoup plus calme…).


Je ne sais pas vous, mais je ne supporte plus Instagram, Facebook, Youtube et les autres réseaux sociaux.


Entre les « recommandations », les publicités, les blagues à Tata Jeanine…


Ça me saoul !



Bref.


Ce n’est pas le sujet.





Le problème que j’ai envie de soulever aujourd’hui, c’est que dans la vie réelle, peu de choses ont changé ces dernières années.


Si vous voulez prendre la parole ou rencontrer des gens dans le même état d’esprit que vous, vous devez soit adhérez à une association, soit aller à un meeting, un salon ou participer à une conférence.


Rien de neuf quoi…


Et pour arriver à coordonner tout ça dans votre agenda..


..bonne chance !



En fait, il faudrait créer le même réseau internet, mais dans le monde réel !


Un réseau sur lequel n’importe qui peut se connecter à n’importe quel moment.


(ça y est, vous êtes en train de vous dire que je pète encore un plomb..


..mais pas tant que ça vous allez voir…)


Certes, ça ne se fera pas du jour au lendemain.


Mais nos villes en ont besoin.


Les enfants de demain en ont besoin !



Mais comment faire pour rendre les interactions sociales plus accessibles en ville ?


Comment faire pour que les gens arrêtent de marcher comme des robots sans même s’échanger un seul regard ?





Alors non, je n’ai pas la solution miracle..


..mais j’ai tout de même quelques pistes…





Pour commencer, nous avons besoin davantage de lieux d’ancrages.


Quand je parle de lieux d’ancrages, je parle de lieux où les gens peuvent ralentir, s’arrêter et se décontracter..


..admirer le paysage..


..profiter du soleil..


..ne rien faire..


..etc…


Ces lieux d’ancrages peuvent se matérialiser sous forme de parcs botaniques, de terrasses de bar, ou de quelques bancs sur une grande place publique.


Bon.


Vous allez me dire que ça existe déjà et que je n’ai rien inventé.


Et je vais vous répondre que vous avez raison.


Mais il y a un hic quand même.


En fait, il manque quelque chose de primordiale à tout ça.


Vous voyez ce que je veux dire ?



(indice : souvenez-vous de ce qui fait le charme d’internet)


La pa-role !





Ca vous est souvent arrivé qu’un inconnu vienne vous parler dans la rue ?


Et qu’en plus de ça, il vienne vous parler d’une passion que vous avez en commun ?


Pire.


Vous avez déjà parlé de votre recette de dentifrice zéro déchet à un inconnu sans qu’il ne vous prenne pour un fou ?


(si ça vous est déjà arrivé, je suis curieux d’en savoir + ^^)


Bref.


Ce que je veux dire par là, c’est que nous avons besoin de + de « liberté d’expression » dans la rue.


Pas de liberté d’expression à la gilet jaune en colère.


(ni de liberté d’expression du mardi soir entre 19 h et 19 h 30 lors d’une session question/réponse à la fin d’une conférence sur les problèmes environnementaux)


Non.


Mais de liberté d’expression constructive.


De liberté d’expression créativité.


De liberté d’expression bienveillante.


De liberté d’expression disponible.



Et pour ça, quoi de mieux que partager une activité en commun ?


Comme un jeu ?


Un sport ?


Ou un potager par exemple ? (vous l’avez vu venir de loin celle-là 😉)



Comme j’en parlais dans le dernier mail avec les jardinières masquées, il est temps de reprendre possession de l’espace urbain ! (en respectant les gestes barrières bien évidemment 😷).


Depuis la nuit des temps, l’Homme a besoin de créer du lien.


Et créer du lien ça passe par une activité en commun..


..un but commun..


..comme le jardinage par exemple 😉😉


Bref.


Il est temps de monter une équipe sur internet, de vous équiper de vos plus belles bêches et d’arpenter les rues de votre ville !


PS : pour en savoir + sur les jardinières masquées, c’est par ici.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

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Je suis Fabrice Maira.

Je m'appuie sur ma solide expérience de terrain et sur la permaculture pour concevoir des espaces naturels durables.

 

 

🌱 30 ans de jardinage dans les pattes

🐞 7 ans à pratiquer la permaculture en pots de fleurs

👨‍🌾 4 ans dans un jardin partagé dont je suis à l'origine

👨‍🎓 Formé à la conception et au design en permaculture par Damien Dekarz

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