Qu’est-ce que ça changerait pour vous si vous étiez capable d’apprendre 10 fois plus de plantes en 10 fois moins de temps sans avoir à fabriquer d’herbier ?
…
La compétence numéro un quand on s’intéresse un minimum au jardinage et à la nature, c’est la reconnaissance végétale.
La reconnaissance végétale, qu’est-ce que c’est ?
C’est le fait de se balader dans la nature et d’être capable de reconnaître plusieurs plantes, d’en parler et parfois même d’en déguster quelques-unes.
Et quand je parle de reconnaître une plante, je parle d’être sûr à 100 %.
Si, comme moi, vous comptez apprendre les plantes pour faire de la cuisine sauvage, sachez que certaines plantes comestibles ont des cousines toxiques qui leur ressemblent comme 2 gouttes d’eau.
Un exemple : la carotte sauvage. Si vous n’apprenez pas à la différencier de la ciguë, je ne donne pas cher de votre peau !
Mais je ne vais pas vous faire un cours de botanique ici.
C’est un sujet vaste dans lequel on peut vite se perdre.
Exemple.
Vous savez combien on compte d’espèces végétales dans le monde ?
+ de 400 000.
Et vous savez combien on en découvre en plus chaque année ?
2 000.
Sans vous parler du nombre de bouquins qu’il existe sur les plantes !
Plantes sauvages et comestibles, plantes maraîchères, plantes de bords de chemins, plantes de hautes montagnes, plantes méditerranéennes, etc…
De quoi y passer des années et toutes vos économies.
Pourquoi je vous dis ça ?
Parce que je suis passé par là.
J’ai épluché un tas de bouquin, fait un tas de balade botanique en compagnie d’experts..
..mais je n’avais pas l’impression de progresser d’un poil.
Et lorsque j’arrivais à me souvenir (et à reconnaître) ne serait-ce qu’une plante de plus, je considérais ça comme un miracle !
Sans parler du fait que j’avais toujours peur de faire mes propres tisanes ou mes propres recettes parce que je n’étais jamais sûr des plantes que je découvrais…
Et puis j’en ai eu assez.
Je me suis dit qu’il fallait que je trouve une solution pour enfin reconnaître ces plantes.
Alors, j’ai décidé de prendre le problème à la racine..
.. et j’ai cherché des méthodes d’apprentissage.
J’ai scruté les plus grands livres de botanique dans les plus grandes bibliothèques universitaires de France (si si, pour de vrai !).
J’ai demandé conseils à des herboristes et des botanistes.
Mais rien.
Aucune méthode d’apprentissage n’existe pour apprendre à reconnaître les plantes, dans la vraie vie.
Le seul moyen, c’est d’éplucher indéfiniment les livres et les herbiers.
…
Puis, je me suis dit qu’il fallait que j’aille à la base du problème..
.. et je me suis intéressé aux méthodes d’apprentissage en règle générale. Et là, j’ai commencé à découvrir des trucs intéressants.
Ces dernières années, on a fait beaucoup de progrès là-dessus. Notamment grâce aux neurosciences.
Petit à petit et à force de tester, j’ai créé une méthode qui fonctionne et qui m’a donné confiance en ma capacité à reconnaître les plantes.
Au lieu d’apprendre toutes les plantes du pays, une par une..
..je me suis dit que j’allais commencer par la plante sauvage qui pousse actuellement dans mon pot de fleurs.
Au lieu de parcourir toutes les montagnes de la vallée avec le plus grand herboriste de la région..
..je me suis dit que j’allais apprendre à reconnaître la plante sauvage la plus courante qui poussait au coin de ma rue.
Vous ne trouvez pas que c’est une approche bien plus autonome et naturelle que de scruter des bouquins toute la journée ?
Partir de soi, de son environnement.
L’herbier numérique
Imaginez.
Vous êtes face à cette plante inconnue.
Vous dégainez votre smartphone.
Vous lancez votre appareil photo.
Vous faites quelques clichés pour découvrir son nom.
Ensuite, vous mettez tout ça dans votre herbier numérique et c’est fini.
Il ne vous reste plus rien à faire.
Juste quelques minutes de révisions quotidiennes.
C’est comme si vous aviez entré la plante directement dans votre cerveau !
Je vous préviens tout de suite.
L’herbier numérique n’est pas fait pour vous si vous aimez les herbiers et les choses bien faites.
Cette méthode est pour ceux qui n’ont justement pas envie de passer des heures à répertorier des plantes.
C’est fait pour vous si la seule chose qui vous importe, c’est d’apprendre à reconnaître les plantes, un point c’est tout.
Pareil, si vous souhaitez devenir botaniste ou herboriste, ce n’est pas pour vous (dans ce cas je vous invite à suivre une vraie formation certifiante !).
Le seul et unique but de cette méthode, c’est d’apprendre à reconnaître quasi automatiquement les plantes que vous côtoyez le plus souvent.
Pour être franc, vous pourrez aller un peu plus loin que de simplement apprendre à les reconnaître 😉, mais ça, je vous laisse le découvrir dans le programme « Herbier numérique ».
Fabrice.
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