Le rythme de la ville vous ronge ?
La circulation incessante des voitures.
Les trottoirs bondés.
Le manque cruel de nature.
La publicité omniprésente.
Le pire, c’est que plus vous vous approchez du centre-ville, plus tout ça s’accentue et plus vous vous sentez mal.
Et plus vous vous sentez mal, plus vous avez tendance à culpabiliser et vous dire que vous êtes le problème..
..mais ce n’est pas vous le problème.
D’après un article de Lucien Fauvernier dans le magazine « psychologies.com« , plus la population est dense, plus les pathologies sont nombreuses (dépression, schizophrénie, troubles anxieux sévères,…).
Et tout ça, c’est dû au mal du siècle : le stress.
Toujours selon un article de Lucien Fauvernier, l’exposition à des situations de stress chronique favorise le développement d’un trouble psychique.
Le cocktail de la sur-urbanisation et de la sur-exposition à des situations de stress chronique multiplie le risque de troubles psychiques.
Les chiffres nous disent aussi que 10 % de la population souffre d’un traumatisme d’une forme ou d’une autre.
Mais selon le psychiatre Gordon Turnbull, spécialiste du trouble de stress post-traumatique (TSPT) et auteur de l’ouvrage « Trauma », ce chiffre serait bien éloigné de la réalité et se situerait plus près des 50 % !
Et toujours selon lui, un traumatisme peut affecter notre capacité à envisager un avenir différent.
En étant conscient de tout ça, comment voulez-vous qu’on parvienne à mettre en place des solutions radicales pour remédier aux problèmes écologiques ?
Comment voulez-vous qu’on change nos priorités et notre fonctionnement ?
Et, tout simplement, comment voulez-vous que VOTRE avenir soit riche et prospère… ?
Comment voulez-vous habiter en ville tout en préservant votre santé mentale ?
Vous me voyez venir ?
Malgré le fait que l’humain soit un animal social, je pense il a besoin de ressentir une certaine connexion.
Je pense que VOUS avez besoin de vous reconnecter.
De vous reconnecter à quoi ?
A LA NATURE.
Les études le prouvent : l’exposition à la nature diminue le stress et renforce le système immunitaire.
Comment est-ce possible me direz-vous ?
C’est simple.
Ce n’est plus un secret, les végétaux communiquent entre eux.
Non pas pour se raconter les potins du coin..
..mais pour assurer la survie de leurs semblables et de la forêt.
« Attention, les fourmis ont commencé à attaquer mon feuillage. Protégez-vous ! ».
« Je viens de trouver une source de phosphore, qui en a besoin ? ».
« Humain détecté ! ».
Mais ce qu’ils se disent, on s’en fout un peu.
Ce qui nous intéresse à nous, c’est la façon dont ils se le disent…
Les arbres communiquent de deux façons :
1/ Par le réseaux de champignons sous terrain (les messages passent par les filaments mycorhiziens).
2/ Par l’échange de gaz.
Ce sont les échanges gazeux qui nous intéressent car c’est en partie grâce à eux que vous vous sentez bien après une balade en forêt.
D’après ces études, l’exposition à ces gaz réduit l’inflammation, le stress oxydatif, le taux d’hormones de stress (adrénaline) et stimule le système immunitaire.
« Ces molécules pourraient donc contribuer à la diminution du stress et de l’anxiété »
Mais comment faire pour se balader en forêt quand on habite en ville et qu’on a ni le temps, ni les moyens ?
Réponse : le jardinage thérapeutique en pots de fleurs.
Je m’explique.
Dans l’avant-dernier mail, je parlais de la notion de champ libre.
Un champ libre c’est un espace dans lequel il y a de place pour accueillir une mauvaise herbe, un oiseau ou un insecte.
C’est un espace dans lequel vous appliquez délibérément le non-agir.
Pour ça, pas besoin d’avoir un terrain de 1000 m².
Quelques pots de fleurs suffisent pour créer la vie.
Et comme nous l’avons vu, plus vous aurez de plantes dans ces espaces, plus elles communiqueront entre elles et plus il y aura d’échanges gazeux.
(et plus vous serez dopé au bonheur).
En gros, plus votre jardin ressemble à une forêt naturelle, une forêt libre..
..plus il sera bénéfique pour vous d’y passer du temps..
..quelle que soit sa taille !
Alors au lieu de chercher à tout contrôler.
Au lieu de faire de la monoculture en pot de fleurs.
Au lieu d’arracher toutes les mauvaises herbes de vos pots de fleurs.
Faites confiance à la nature et laissez-la faire son travail.
Votre boulot à vous, c’est de lui laisser le champ libre.
Il ne vous restera plus qu’à profiter de l’abondance de bonheur qu’elle sera en mesure de vous apporter.
Il est temps de revoir votre stratégie de jardinage en pot de fleurs.
C’est un reformatage complet dont vous avez besoin.
Personnellement, ça fait plus de 7 ans que je pratique le jardinage thérapeutique en pots de fleurs sur ma terrasse de 8 m²..
..et c’est la raison pour laquelle je vous propose mon aide.
Pour enfin lâcher prise et me demander un petit coup de pouce, c’est par ici.
Fabrice.