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Comment trier ses graines en janvier ?


Cette semaine, on continue notre lancée sur les astuces potagères…


On va parler de vos graines.


Et plus précisément de ce que vous devez faire chaque mois de janvier avec votre stock.



Si vous vous sentez concerné, félicitations.


C’est que vous faites partie de celles et ceux qui ont compris l’importance de devenir autonome en semences.


Vous avez compris que tout part d’une seule et unique chose : la graine.


Bon, je dis ça, mais si vous n’avez que des graines et des plants F1, vous n’irez pas bien loin en ce qui concerne l’autonomie.


(si vous n’étiez pas au courant, il n’est pas possible de récolter et de ressemer des semences issues de gaines F1 sans vous retrouver avec des plantes « difformes »)


Le seul moyen d’avoir des plantes qui ressemblent à leurs « parents », c’est d’utiliser des graines reproductibles…



Bref.


C’est parti.


A vos graines..


..prêt..


..feu..


..partez !



Première étape, regroupez toutes vos graines.


Il vous reste sûrement quelques sachets de l’année dernière.


Peut-être même que vous en avez récolté dans votre potager cette année (des non F1 hein !).


En tout cas, il est temps de faire le point là-dessus.


Si ce n’est pas encore fait, je vous invite à vous fabriquer une grainothèque pour bien ranger tout ça.


Classer vos graines, c’est la base.


Ca évite d’avoir des sachets qui traînent un peu partout et, s’ils sont bien classés (c’est-à-dire alphabétiquement selon ma méthode), ça vous permet de retrouver rapidement ce que vous cherchez.



Deuxième étape, faites le tri.


Ca peut paraître fou, mais les graines ont une date de péremption (même la nature fait du marketing).


Par exemple, les graines de laitue ont beaucoup moins de chance de germer après 2 à 5 ans selon les variétés.


Pour les tomates, c’est de 4 à 10 ans.


Les poivrons, de 2 à 4 ans.


Les haricots, de 3 à 5 ans.


Le radis, de 4 à 5 ans.


Etc…


En général, il suffit de regarder sur les sachets de graines pour savoir quand ont été récolté vos graines (et c’est aussi la raison pour laquelle il faut bien penser à mettre l’année de récolte sur vos sachets de graines perso).



Troisième étape, noter ce que vous mettez de côté.


Comme nous allons le voir dans la quatrième étape, vous allez pouvoir recycler ces graines.


Pour le moment, je vous invite juste à noter quelque part les variétés que vous mettez de côté.


Pourquoi ?


Tout simplement pour ne pas oublier d’en racheter !


Si vous avez mis en place le calendrier SEMIS automatique, la liste de rachat se fait quasi automatiquement, pas besoin de noter.


😉



Quatrième étape, donner une deuxième vie à ces graines « périmées ».


Il ne faut jamais jeter de graines ! (sauf sur de la terre fertile).


Ce n’est pas parce que vos graines sont périmées, qu’elles ne germeront plus jamais.


Profitez-en pour fabriquer des bombes de graines bien chargées.


Vous pouvez aussi faire du semis sauvage.


D’ailleurs, c’est ce que j’ai fait dans le potager de la voisine du jardin partagé 🤫


Je suis actuellement en train d’abandonner le projet de jardin partagé pour cause de « voisine chiante ».


Pour me venger, j’ai semé quelques graines de fleurs dans sa parcelle (#vengance de babosse).


Bref.


Soyez créatifs.


Et vous pouvez très bien les jeter dans vos propres pots de fleurs hein ^^


Parfois, je mélange des graines périmées dans mes « semis ».


Prenons un exemple.


Si vous avez des carottes à semer et des graines périmées de radis, vous pouvez très bien les semer en mélange.


Ca vous fait de la consistance dans votre semis (ce qui permet de semer plus clair) et, de plus, ça vous fera peut-être quelques radis en attendant que les carottes germent.



Cinquième étape (déjà !), vérifier vos quantités.


Ce n’est pas parce qu’il vous reste des sachets que vous aller pouvoir faire votre année avec.


Vérifier si vous avez assez de quantité pour l’année.


Les frais de port pour acheter des graines sont assez cher.


Voyez long terme.


Le mieux c’est de faire une commande par an seulement.



Sixième (et dernière) étape, racheter des graines.


Choisissez des fournisseurs de graines reproductibles tel que kokopelli, la semence bio, germinance, alsagarden, ferme de saint marthe, etc…


Vous avez aussi mes kits de graines qui sont reproductibles (frais de port offert).



Voilà tout.


Ca vous fait pas mal de devoirs pour la semaine prochaine 😉



J’ai une dernière question.


J’aimerais savoir quels sont les problèmes que vous rencontrez dans l’organisation de vos sachets de graines.


Même question pour ce qui est de l’organisation de vos semis à l’année.


Vous n’avez qu’à me dire tout ça en répondant à ce mail.


Ca me donnera des idées pour les prochains mails.



PS : j’ai fini de mettre de l’ordre dans mes sachets de graines.


Cette année, j’ai récolté pas mal de graines de blettes.


Du coup, pour tout achat de 2 kits de graines sur la boutique, je vous offre un sachet de graines de blettes.


L’offre est valable jusqu’à dimanche prochain, minuit (et en ce moment pour tout achat sur la boutique, recevez un accès à vie au discord du potager minimaliste).



PPS : gérer et planifier ses semis est très chronophage.


C’est la raison pour laquelle beaucoup de personnes laissent tomber lorsqu’elles doivent gérer + de 10 variétés à l’année.


Pourtant, faire ses propres semis est tellement important.


Déjà, quoi de plus gratifiant de cultiver de la graine à l’assiette ?


Ensuite, apprendre à savoir comment et quand semer chaque espèce est une compétence à développer si vous voulez avoir des légumes toute l’année dans votre potager.


Et lorsque vous cultivez uniquement des graines reproductibles, vous êtes sûr de viser l’abondance.


Sûr de viser l’abondance en graines, mais aussi l’abondance en mauvaises herbes potagères.



Sur ce.


Bon dimanche.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

Quoi mettre au fond d’une jardinière ou d’un pot de fleurs ?


C’est une nouvelle année.


Un nouveau départ.


Le mois de janvier est aussi un mois où l’on commence à préparer le printemps au potager.


Un mois où l’on fait ses premiers semis de laitues.


Où l’on fait le point sur sa grainothèque.


Et où l’on se prépare aussi à ajouter quelques jardinières sur sa terrasse ^^



Peut-être même que je vous ai influencé à faire votre première lasagne en pot !


(c’est ma plus grande fierté)



Si vous avez loupé mon article « comment fabriquer une jardinière en bois de palette », c’est par ici.


Comme vous le savez, j’aime les choses simples.


Ne vous attendez pas à un tuto détaillé sur le pourquoi du comment vous devez intégrer un système d’arrosage automatique et ultra sophistiqué à votre jardinière.


Non.


1 ou 2 palettes, un pied-de-biche, un sachet de vis et 2 paires de roulettes feront l’affaire.


Cet article, c’est une liste des grands principes pour fabriquer votre propre jardinière.


Il a été écrit dans le but de vous faire comprendre comment il faut penser pour élaborer le plan de votre jardinière (et oui, il faut penser un minimum à la conception).


Quoi faire et quelles erreurs ne pas faire.


Mon conseil de conception : quel que soit le style et la forme de votre jardinière, pensez simple.


Plus les choses sont compliquées, plus vous pouvez faire d’erreurs.


Plus elles sont compliquées, plus elles coûtent cher à la fabrication et à la maintenance.



Bon.


Première question :


Pourquoi mettre quelque chose au fond d’une jardinière ?


Il y a 3 raisons.



Déjà, pour filtrer.


Suivant ce que vous allez mettre dans votre jardinière (de la terre de jardin, du terreau ou une belle lasagne), il se peut que vous ayez des écoulements d’eau un peu sales.


Du coup, mettre en place un fond dans le but de filtrer ces impuretés n’est pas une mauvaise chose…



Autre intérêt de faire un fond : éviter la bouillasse tout en créant une réserve d’eau.


Lorsque vous allez fabriquer votre jardinière, le moment où il ne faudra pas vous louper, c’est celui où vous aller percer votre jardinière (aucun retour en arrière autorisé).


Soit vous percez dans le fond et l’eau s’écoulera instantanément.


Soit vous percez sur les côtés (quelques centimètres au-dessus du fond) et vous créez une réserve d’eau.


(il vaut mieux avoir un fond autre qu’un fond de terre dans ce cas-là…)



Dernière bonne raison de faire un fond : éviter de créer un chignon de racines.


La plupart du temps, lorsque l’on cultive des plantes en pots de fleurs (surtout des arbustes qui restent plusieurs années), elles créent un chignon de racines au fond du pot ou de la jardinière.


Le fond, c’est généralement là où il y a le plus d’humidité et c’est surtout là où la racine est bloquée lorsqu’elle cherche à plonger dans le sol…


Dans certains cas, le fait de préparer un fond empêche ce phénomène de chignon qui est néfaste pour la ou les plantes.



Bref.


Et si on passait au vrai sujet du mail ?


La nature du fond.



Pour faire votre fond, vous avez la possibilité d’utiliser tout un tas de matériaux naturels.


Et, comme d’habitude, je vous conseille de penser « récup et local ».


Pas la peine de passer à jardiland.


Voici mes 3 recommandations :



1/ La terre cuite


Plus précisément, les débris de pots en terre cuite.


Si vous avez quelques pots brisés, vous pouvez les finir avec une massette et les réutiliser pour faire votre fond de jardinière.


C’est un matériau sain et naturel.


De plus, si vous comptez mettre quelques vers de terre dans votre jardinière, l’argile contenue dans les débris pourront, à terme, contribuer à la formation du complexe argilo-humique de votre futur lasagne ^^ (en gros, vous aurez un terreau de meilleur qualité).



2/ Les cailloux


C’est plus facile pour vous de récupérer des cailloux ?


Alors n’hésitez pas.


Mais faites tout de même attention au poids.


Ca peut aller très vite, et même fragiliser votre jardinière sur le long terme.


(au pire, vous pouvez les mélanger avec quelques débris de terre cuite pour alléger le truc)



3/ Le bois mort


En plus de contribuer au bon développement de votre lasagne, le bois mort en fond de jardinière permet de garder l’humidité (effet éponge).



Voilà tout pour aujourd’hui.



Vous sentez ce goût du printemps ?


Même si nous sommes au cœur de l’hiver, il y a une sorte d’appel à jardiner en ce moment.


Une sorte de retour à la terre.


Profitez-en pour faire de belles choses et partagez-moi vos projets en répondant à ce mail !


Merci.



PS : si vous aimez ces mails, faites-le moi savoir en me donnant un petit pourboire sur tipeee.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

Elle a besoin d’aide (et je crée un forum Discord sur la permaculture urbaine)


Il y a quelque temps, j’ai été contacté par Marie de Marseille.


Dans son message, elle me remercie pour le travail que représentent ces mails envoyés chaque semaine.


Elle m’a aussi fait part d’une demande.


Une demande par rapport à son potager de balcon.


En gros, elle cherche quelqu’un qui pourrait venir l’aider et la conseiller pour son potager de terrasse.



Comme vous pouvez le constater, sa demande n’est pas très précise.


Je ne savais pas trop quoi répondre.


Mais j’ai fini par trouver.


Je me suis souvenu qu’il y a quelques mois, j’avais rencontré Timothée de l’équipe du permacooltour à Lyon.


Timothée est cool (et c’est sûrement pour ça qu’il a rejoint le permacooltour :p).


Il silionne la France d’éco-lieu en éco-lieu depuis environ un an avec son vélo.


A la base, il est Parisien.


Il aime la nature et a donné de son temps à de nombreux jardins urbains parisiens avant de décider de prendre la route.

Sur son chemin, il a découvert d’autres jardins.


Dans la plupart des grandes villes de France.


Je lui ai posé plein de questions à ce sujet.


(entre autres de ce qui fonctionne et de ce qui fonctionne moins bien dans ce genre de projet).


C’était une conversation super intéressante.


D’ailleurs, j’ai regretté de ne pas l’avoir enregistré.


Des fois, je me dis que je devrais toujours avoir un micro sur moi.


Que ce genre de discussion mérite d’être partagé via un podcast par exemple.


Bon.


En tout cas, j’ai pu récupérer quelques adresses intéressantes.


Des adresses d’éco-lieu, de tiers-lieu proche des grandes villes (et où ça jardine bien entendu).


Quand on a parlé de la ville de Marseille, il m’a tout de suite parlé du « jardin du talus« .


….


Et je pense que vous avez deviné ce que j’ai répondu à Marie..


..en deux mots, je lui ai tout simplement signalé l’existence du jardin.


Comme c’est le cas la plupart du temps, elle n’était pas au courant de son existence !



C’est ça qui me tracasse.


Il y a plein de projets partout en France, mais ils ne sont pas assez connus.


Alors que plein de gens, comme vous et moi, en sont friands.


Ce qu’il manque à la communauté des amoureux de la permaculture et de la permaculture urbaine, c’est du lien.


Du lieu comme, par exemple, un forum ou une plateforme qui recense tous les lieux où l’on pratique la permaculture.


Des lieux où la porte est ouverte et où il y a toujours un râteau de disponible pour filer un coup de main.


Des lieux où l’on peut refaire le monde autour d’un plant de tomates…



Alors j’ai réfléchi.


Et je me suis dit (entre autres) qu’il y avait peut-être l’un ou l’une d’entrevous qui aurait pour vocation de le faire au travers d’une carte interactive ? (je dis ça, je dis rien).



Bref.


Vous êtes presque 1 200 personnes à recevoir mes mails chaque semaine.


Je me suis aussi dit qu’on pourrait déjà faire quelque chose au sein de la communauté du potager minimaliste.



Donc, je fais appel à vous.


Si vous êtes de Marseille, Marie à besoin de vous (et vous avez peut-être aussi besoin d’elle qui sait).


Elle a un potager sur sa terrasse et aimerait avoir quelques conseils et quelques coups de main.


Pour que je vous mette en contact avec elle, il suffit de me répondre à ce mail.


Et je lui ferais passer votre message.


Pour finir, j’aimerais vous dire que vous aussi vous pouvez faire appel à la communauté.


Il suffit de répondre à ce mail en formulant votre demande et j’en parlerais dans un autre mail.


Vous pouvez aussi engager la conversation dans le groupe privé Telegram.


Il a aussi le Instagram (même si je suis moins présent).



Le truc, c’est qu’il faut apprendre à créer du lien dans notre communauté.


Il faut parler des projets intéressants.


Les faire connaître.


Et ça, il n’y a que vous qui pouvez le faire.


C’est à vous de jouer, prenez la parole !




PS : juste un dernier mot pour parler du forum Discord de la communauté du potager minimaliste.


Toutes les personnes qui achètent une formation ou un coaching ont accès au Discord du potager minimaliste.


Ce discord, c’est une sorte de forum géant où vous pouvez partager des messages, des photos et des vidéos avec les autres membres.


Une sorte de messagerie géante.


Il y a plein de sections à thèmes et le forum évolue au gré de vos propositions.


C’est co-évolutif quoi.


Vous pouvez même créer votre propre section pour partager l’évolution de votre potager et les autres membres peuvent venir interagir avec vous.


Pour le moment, je ne vais pas vous cacher que je n’ai pas assez mis en avant la puissance de ce forum.


Du coup, peu de gens s’inscrivent au final.


Mais le potentiel est ouf.


Du coup, j’ai décidé de faire une petite exception pour remettre un peu de vie sur le forum.


Déjà, si vous avez acheté une formation ou un coaching chez moi et que vous n’êtes toujours pas inscrit, vous pouvez répondre à ce mail et je vous ajoute au Discord.


Ensuite, si vous n’avez encore rien acheté, je vais faire une exception.


Pour tout achat effectué sur le site, je vous donne accès au Discord.


Ce qui veut dire qu’il vous suffit juste d’acheter un kit de graines ou un bâton de sauge (frais de port offert) pour obtenir votre accès.


Si vous voulez rejoindre la communauté, rendez-vous sur la boutique.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

Plus que quelques heures pour profiter du pack…


Merci.


Ouf que j’ai fait plein de bâtons de sauge !


Vous avez été nombreux à commander le pack de Noël.


C’est la première fois que je fais ce genre de pack et je suis ravi de voir que ça vous plaît.



Rassurez-vous, il m’en reste encore sous le bras.


Pour rappel, le pack de Noël est composé de :

  • 2 kits de graines (à choisir dans la boutique)
  • 1 bâton de fumigation à la sauge (pour purifier l’atmosphère et laisser une bonne odeur de feu de cheminée à la maison…)
  • Le PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs » (guide de A à Z pour faire votre première lasagne en pot).


Ce pack vous revient à seulement 49€ (bâton de sauge et frais de port offert).


Mais attention, il ne vous reste plus que quelques heures.


Ce soir, à minuit, il ne sera plus possible d’en profiter.



Voici quelques détails :



Le PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs »


Ce PDF, c’est un tuto complet pour réaliser une culture en lasagne en pot de fleurs.


Je vous prends par la main et vous guide de A à Z dans la création de votre première lasagne en pot.


Je vous dis quel contenant choisir.


Comment organiser vos couches.


Quoi mettre et ne pas mettre dans votre lasagne.


Les erreurs à éviter.


Quoi planter.


Etc, etc…



Le bâton de fumigation à la sauge


Un bâton de fumigation, c’est un bâton de branches séchées que l’on peut faire brûler lentement comme un encens.


Celui-ci dégage une odeur agréable de sauge brûlée (cultivée avec amour sur la terrasse et le jardin partagé du potager minimaliste).


Et pas la peine de le faire brûler des heures.


Vous n’avez qu’à l’allumer, souffler un peu dessus et il s’éteindra de lui-même au bout de quelques secondes en laissant une agréable odeur de « soirée au coin du feu ».


De plus, la sauge a pour particularité de purifier l’atmosphère (elle est utilisée dans des rituels chamaniques pour chasser les mauvais esprits).



2 kits de graines


Il y a plusieurs kits de graines dans la boutique :

  • Le kit « hivernage de pots de fleurs »
  • Le kit « les 3 sœurs de pots de fleurs »
  • Le kit « printemps précoce »
  • Le kit « plantes grimpantes et comestibles »
  • Le kit « salades rustiques »


A vous d’en choisir au moins 2.



En résumé, pour profiter de ce pack, il suffit d’ajouter à votre panier 1 exemplaire du PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs » + au moins 2 kits de graines de votre choix et de valider votre commande.


Une fois votre commande passée, je vous envoie le pack qui est composé du PDF (que vous recevez instantanément par mail), des 2 kits de graines et d’un bâton de fumigation à la sauge.


Le pack vous revient à 49 € (les frais de port et le bâton de sauge sont offerts).


Le lien vers le PDF.


Le lien vers la boutique de graines.



N’oubliez pas, l’offre se termine ce soir à minuit.



Sur ce, très bonnes fêtes de fin d’année à vous.


PS : si vous avez déjà acheté le PDF par le passé, il suffit de commander au moins 2 kits de graines pour recevoir le pack complet.


C’est-à-dire que vous recevrez vos 2 kits de graines + un bâton de sauge pour seulement 20 €.


(pensez à utiliser le même nom ou la même adresse mail que vous avez renseigné pour acheter le PDF).



PPS : c’est pareil si vous avez déjà acheté 2 kits de graines, il suffit juste de prendre uniquement le PDF pour recevoir votre sauge.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

6 livres pour démarrer en permaculture urbaine


Voici ma sélection de livres pour bien démarrer en permaculture urbaine.


Vous trouverez des ouvrages sur les associations de culture, le fonctionnement du sol (et du vers de terre), de la philosophie de la permaculture et quelques techniques de jardinage bien entendu…



A l’heure où j’écris ces mots, nous entrons tout juste au cœur de l’hiver.


Il commence à faire froid.


Très froid.


Quoi de mieux que d’aller boire un bon chocolat chaud dans votre bar préféré pour faire un peu de lecture ?



Personnellement, c’est mon petit kiff en ce moment.


Plusieurs fois par semaine, je finis la journée par un peu de lecture dans un bar tranquille.


Ca me fait du bien de renouer avec de vieilles habitudes.


Non pas que je sois un ex-alcoolique ^^


Mais avant les confinements, je travaillais sur le blog et lisais beaucoup dans les bibliothèques, les bars et les boulangeries.


C’était un moyen pour moi de mieux me concentrer dans mon travail.


D’avoir l’esprit ouvert.


D’être créatif.


(depuis, j’ai appris à travailler de chez moi, mais ce n’est pas toujours facile pour être franc)


Dans les bibliothèques, on est au calme et en même temps, il y a de la vie.


Et puis chaque bibliothèque à sa propre atmosphère…


Le bruit des trousses.


Le bruit des talons de la bibliothécaire.


Les chuchotements dans les rayons.


La fenêtre sur l’extérieur.


Etc…


Pareil dans les bars (les bars calmes bien entendu).


Le bruit de la radio.


Le silence d’un bar vide.


Les gens qui papotent.


Le bruit de la machine à café.


Les odeurs.


Les courants d’air frais quand quelqu’un rentre.



Je sais.


C’est un peu bizarre, mais c’est mon kiff.


Et je vous invite à tester ! (pas besoin de pass sanitaire dans tous les bars 😉 )



Bon.


Pour commencer, je vous propose la lecture de ce petit bouquin (64 pages) écrit par Nelly Pons :


(juste pour info, tous les liens sont des liens affiliés vers amazon)



Débuter son potager en permaculture


Dans son livre, Nelly Pons vous entraîne, au travers de son expérience, dans une sorte de voyage intérieur.


Un voyage à la rencontre de votre jardin secret.


Ce petit jardin auquel vous rêvez.


Celui de votre terrasse ou de votre petite parcelle de terrain.


Ce potager dans lequel vous vous imaginez passer du temps pour jardiner, manger quelques fruits, bouquiner, etc..


Comme elle le dit (je cite) :


« Je vous invite à entreprendre ce voyage, qui ne ressemblera pas au mien, ni à aucun autre ».



Si vous avez des enfants, vous trouverez aussi quelques infos sympas comme par exemple :


Comment faire pour les impliquer dans votre projet ?


Ou, comment leur faire comprendre l’intérêt du vers de terre pour la vie du sol avec la fameuse expérience du vers de terre ?


Bref.


Je ne vais pas tout vous dévoiler.


Je vous laisse une part de découverte.


C’est un livre qui se lit assez rapidement et dans lequel vous trouverez toutes les bases pour bien démarrer en permaculture.


> Débuter son jardin en permaculture de Nelly Pons



Le deuxième livre de ma sélection est écrit par Hans Wagner :



Le poireau préfère les fraises


Même si ce bouquin a été écrit il y a 20 ans, il reste encore une référence dans le domaine.


Vous y trouverez les meilleures associations de plantes pour le potager (ainsi que les moins bonnes).


Le petit plus, c’est qu’il y a toutes les explications du pourquoi du comment c’est une bonne (ou une mauvaise) association.


Ce ne sont pas des pages et des pages de tableaux.


Tout est bien expliqué.



Par exemple, savez-vous pourquoi le poireau préfère les fraises ?



Non ?


Et bien, c’est parce que les plantes de la famille des alliacées (dont fait partie le poireau), limitent la formation de moisissures auxquelles les fraises sont sensibles.



Et voilà.


Tout le long du livre, c’est comme ça.


On apprend plein de trucs !



Si vous me connaissez assez, vous savez que je ne fais pas du tout attention aux associations de plantes.


Je plante tout mélangé dans mes pots de fleurs.


Et ça fonctionne plutôt bien.


Mais ça ne m’a pas empêché de prendre du plaisir à lire ce livre.


Et il y a plein de choses à apprendre en plus des associations de plantes.


Comme par exemple, les distances de plantations, les différentes techniques de semis, le principe « d’allées fertiles » ou les conseils pour bien démarrer un potager.


On retrouve bien la philosophie de la permaculture au travers de notion de non-labour du sol, de couvert végétal, de rotation de culture, etc…


Si vous manquez d’inspiration pour le choix de vos plantes potagères, vous trouverez de quoi faire parmi sa sélection d’une cinquantaine de plantes…


Bref.


Ce livre s’adresse autant aux débutants qu’aux jardiniers expérimentés.


> Le poireau préfère les fraises de Hans Wagner



Ensuite, le troisième livre de ma sélection a été écrit par Joseph Chauffrey :



Mon petit jardin en permaculture


Sorti en 2017, cet ouvrage vous transporte dans le jardin urbain de Joseph et de sa femme.


Au travers de ce récit, vous découvrirez comment ils ont réussi à créer un petit coin de paradis inspiré de la permaculture (et notamment de celui de la ferme du Bec Helloin).

  • Inviter et héberger la biodiversité
  • Favoriser les interactions et multiplier les fonctions des éléments du jardin
  • Revaloriser les ressources (lumière, eau, végétaux, etc…)
  • Prendre soin du sol en intervenant le moins possible et créer des sols vivants (paillage, compostage, compostage de surface, butte de culture, semis d’engrais vert, etc…)
  • Observer et comprendre la faune et la flore afin d’adapter son jardin à son environnement d’années en années


C’est sur ces principes qu’ils ont créés et entretiennent aujourd’hui encore leur petit jardin normand de 150 m².


Au travers de nombreuses illustrations, vous trouverez plein de conseils et astuces pour jardiner en permaculture.


Pour résumer, voici un super livre pour démarrer en permaculture sur une petite surface.


> Mon petit jardin en permaculture de Joseph Chauffrey



Quatrième bouquin de l’auteur Blaise Leclerc :



Les jardiniers de l’ombre


Livre un peu plus technique centré sur le vers de terre.


Mais pas que.


On en apprend beaucoup sur la vie du sol et de son fonctionnement.


Les acariens, les bactéries, les champignons (et leur symbiose avec les racines), les insectes, le complexe argilo-humique, etc..


Vous y retrouverez aussi quelques conseils concrets comme :


Comment reconnaître le sol de son jardin ?


Comment l’améliorer ?


Comment bien le pailler ?


Quels engrais verts utiliser ?


Malgré quelques contradictions et le fait que ce soit un livre sorti en 2002, je le conseille à tous les amoureux et les amoureuses de sols vivants !


> Les jardiniers de l’ombre de Blaise Leclerc



Cinquième livre de Claude et Lydia Bourguignon :



Le sol, la terre et les champs


Toujours dans la continuité du sol vivant, voici un ouvrage complet sur le sujet.


Bien que parfois assez technique, vous y trouverez des passages passionnants sur la révolution verte (l’agriculture intensive d’après-guerre) et ses effets néfastes.


On y parle de disparition des sols, de terre érodée, de faune épigée, de faune endogée, d’humus, de litière, de roche mère, de structure et de fonctionnement des sols, de terroir, et même de bon vin !


Un véritable voyage au cœur de la vie…


> Le sol, la terre et les champs de Claude et Lydia Bourguignon



Et pour finir, j’ai choisi un livre de Gregory Derville :



Permaculture, en route vers la transition écologique


Sorti en 2018, ce livre commence par une introduction à la permaculture et de son engouement en France depuis les années 2010.


L’auteur revient aussi sur la naissance de la permaculture dans les années 70 grâce à Bill Mollison et David Holmgren.


On découvre aussi les inspirations de ces fondateurs qui datent des années 20 !


C’est un véritable travail journalistique qui s’enchaîne sur une deuxième partie basée sur la transition écologique (et sur le pourquoi du comment la permaculture en est LA solution).


Puis, pour finir, l’auteur revient sur des choses plus concrètes et plus techniques : le design permaculturel.



Ce livre est un appel à la réflexion.


C’est très bien documenté.


Pour résumer, il est à mettre entre toutes les mains !


> Permaculture, en route vers la transition de Gregory Derville




Voilà.


J’espère que vous avez trouvé votre bonheur dans ma sélection de livres pour bien démarrer en permaculture urbaine.


(je n’ai pas parlé du livre « Le guide de la permaculture urbaine » qui est aussi un excellent livre pour commencer à bricoler votre balcon)


Sur ce, je vous souhaite par avance tous mes souhaits de bonheur pour 2022.


Que cette année soit une année de renouveau, une année de réalignement sur vos valeurs et vos besoins.


Une année de grand changement pourquoi pas.


Ecoutez votre cœur.


Lancez-vous dans de nouvelles aventures.


Imaginez, parlez et concrétisez des projets qui sommeillent en vous (et n’oubliez pas qu’on a qu’une seule vie).


En un mot, cultivez votre jardin.



Merci et à l’année prochaine !



PS : le pack de Noël est toujours disponible.


Pour en profiter, il suffit de vous rendre sur le site du potager minimaliste et d’ajouter à votre panier :


Le PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs ».


Et 2 kits de graines au choix dans la boutique (je vous conseille le kit salade rustique pour janvier et le kit printemps précoce pour février).


Ensuite, validez votre commande.


Les frais de port sont offerts et vous recevrez en bonus un bâton de fumigation à la sauge fait par mes propres soins.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

La sauge, c’est cadeau…


Le père Noël est passé sur Le Potager Minimaliste.


Et il a laissé quelque chose pour vous.


Ce quelque chose, c’est le pack de Noël.


Bon.


Je ne vais pas y aller par 4 chemins.


Ce pack est composé d’un bâton de sauge, de 2 kits de graines et du PDF tutoriel pour faire votre première culture en lasagnes en pot de fleurs.



Voici une rapide présentation des différents articles :



Le bâton de fumigation à la sauge (offert)


Vous ne l’aviez peut-être pas remarqué, mais il y a un petit nouveau dans la boutique du site ces dernières semaines.


C’est le bâton de sauge.


Et pas n’importe quelle sauge.


De la sauge officinale qui pousse à la fois sur la terrasse et dans le jardin partagé.


Donc, je peux vous dire que c’est une sauge locale et riche de vie.


Bref.



C’est quoi ce bâton et à quoi il sert ?


Un bâton de fumigation, c’est un bâton de branches séchées que vous pouvez faire brûler comme un encens.


Il dégage une odeur agréable de sauge brûlée.


Et pas la peine de le faire brûler des heures.


Vous n’avez qu’à l’allumer et il s’éteindra de lui-même au bout de quelques secondes en laissant une agréable odeur de « soirée au coin du feu ».


De plus, la sauge a pour particularité de purifier l’atmosphère (elle est utilisée dans des rituels chamaniques pour chasser les mauvais esprits).



Le bâton de sauge en question (100 % fait maison) 👇

baton-sauge-officinale-fumigation-permaculture



2 kits de graines


En plus de ce bâton, le pack est composé de 2 kits de graines.


J’ai lancé les kits de graines avec le kit ‘hivernage de pots de fleurs » en septembre dernier sur la boutique.


Et j’ai été surpris de son accueil.


Vous avez été nombreux à avoir passé commande.


Depuis, j’ai ajouté plusieurs kits de graines : le kit « les 3 sœurs de pots de fleurs », le kit « printemps précoce », le kit « plantes grimpantes et comestibles » et le kit « salades rustiques ».


Dans le pack de Noël, vous choisissez les 2 kits de votre choix parmi cette liste.



Le PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs »


Et pour finir, le PDF.


Ce PDF, c’est un tuto complet pour réaliser une culture en lasagne en pot de fleurs.


Je vous prends par la main et vous guide de A à Z dans la création de votre première lasagne en pot.


Je vous dis quel contenant choisir.


Comment organiser vos couches.


Quoi mettre et ne pas mettre dans votre lasagne.


Les erreurs à éviter.


Quoi planter.


Etc, etc…



Voilà.


La sauge, c’est cadeau.


Bref.


Ce pack, il est valable jusqu’au 31 décembre.


Pour en profiter, il suffit donc d’ajouter à votre panier 1 exemplaire du PDF « un sol vivant dans un pot de fleurs » + au moins 2 kits de graines de votre choix et de valider votre commande.


Une fois votre commande passée, je vous envoie le pack qui est composé du PDF (que vous recevez instantanément par mail), des kits de graines que vous avez choisi et d’un bâton de fumigation à la sauge fait par mes propres soins.


Le pack vous coûte 49 € (les frais de port sont offerts).


C’est juste en dessous pour passer commande 👇


Le lien vers le PDF.


Le lien vers la boutique de graines. (choisissez au moins 2 kits pour recevoir le bâton de sauge)



N’oubliez pas que vous avez jusqu’au 31 décembre pour profiter de l’offre.



Joyeux Noël !



PS : si vous avez déjà acheté le PDF par le passé, il suffit de commander 2 kits de graines pour recevoir le pack complet.


C’est-à-dire que vous recevrez vos 2 kits de graines + un bâton de sauge pour seulement 20 €.


(pensez à utiliser le même nom ou la même adresse mail que vous avez renseigné pour acheter le PDF).



PPS : c’est pareil si vous avez déjà acheté 2 kits de graines, il suffit juste de prendre le PDF pour recevoir votre sauge.



Fabrice, pour le potager minimaliste.
Je dessine votre jardin comestible.

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